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Partenariat Mondial pour l’Education : Après Rihanna, Youssou Ndour enrôlé

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Après la chanteuse Américaine Rihanna, le partenariat Mondial pour l’Education vient d’enrôler Youssou Ndour,  une autre star planétaire, pour soutenir le plaidoyer en faveur de l’éducation des enfants dans le monde. En effet,  le Partenariat mondial pour l’Education, représenté par sa Directrice Générale Mme Alice Albright, a signé ce vendredi 1e novembre 2019, à Dakar, un important accord de partenariat avec l’artiste.

«Je connais M. Ndour pour sa musique envoûtante, mais aussi pour la passion et l’énergie qu’il consacre au sort des jeunes d’Afrique et du reste du monde. Nous sommes très heureux qu’il accepte de donner de son temps pour faire campagne en faveur du droit des enfants à une éducation de qualité. Nous sommes honorés que M. Ndour veuille ajouter sa puissante voix au plaidoyer en faveur de l’éducation en ce moment capital», a déclaré la Directrice Générale du Partenariat Mondial pour l’Education, Mme Alice Albright.

Elle a également ajouté qu’avec le soutien de Youssou Ndour, le partenariat Mondial pour l’Education réussira à «attirer  l’attention sur le pouvoir transformateur de l’éducation, mais également à mobiliser une volonté politique et des financements soutenus afin de donner espoir et fournir des opportunités à des millions d’enfants».

Pour sa part, l’artiste Youssou Ndour a précisé que «ce partenariat matérialise l’engagement de soutenir l’éducation des enfants qu’il avait pris le 02 février 2018, lors de la conférence de reconstitution des fonds pour le Partenariat Mondial pour l’Education (PME), coprésidée par le président de la République Macky Sall et son homologue français, Emanuel Macron ».

«J’avais pris l’engagement d’accompagner le partenariat Mondial pour l’Education. Mon objectif, mon souhait est effectivement de changer positivement le vécu de chaque enfant avec une éducation de qualité. Objectif que je partage avec le partenariat mondial pour l’Education qui promeut une éducation de qualité surtout dans les pays en voie de développement», a confié Youssou Ndour.

Le nouvel ambassadeur de l’éducation pense également que cette collaboration pourra donner plus d’échos favorables auprès des bailleurs pour qu’ils investissent davantage, dans l’éducation  en soutenant les initiatives du Partenariat mondial pour l’Education.

La cérémonie de signature de ce partenariat entre le ministre-conseiller,  Youssou Ndour, et le Partenariat mondial pour l’Education, représenté par sa Directrice Générale Mme Alice Albright, a été présidé par le par le Vice-président du Conseil d’administration du  Partenariat mondial pour l’éducation,  par ailleurs ministre de l’eau et de l’assainissement du Sénégal, Serigne Mbaye Thiam.

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Ibrahima Thiam: « Le prix du kilogramme de l’arachide devait être fixé à 1.000 FCFA… »

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Le prix du Kilogramme de l’arachide fixé par l’Etat semblent ne pas arranger les acteurs agricole surtout ceux du bassin arachidier. Selon Ibrahima Thiam, secrétaire général du syndicat des cultivateurs, maraîchers et éleveurs du Saloum, il est inadmissible que le paysan fasse toutes ses dépenses et ses travaux champêtres et de revenir vendre sa récolte à un prix absurde fixé par des gens qui ne se soucient guère du développement des paysans.

« Le prix du kilogramme de l’arachide devait être fixé à 1.000 FCFA et c’est possible. Pour le prix du kilogramme du lait, du riz, de l’huile est plus cher que celui de l’arachide », a déploré Mr Thiam.

Ainsi, il invite au nouveau Président, Bassirou Diomaye Diakhar Faye à ne pas répéter les mêmes erreurs que ses prédécesseurs. « Si vraiment le nouveau président veut nous aider il faut qu’il connaisse nos préoccupations. Il est un fils de pays donc j’ai pas de doutes concernant ce qu’il va faire pour la valorisation du secteur de l’agriculture. Il faut qu’il prenne en compte les intérêts des populations rurales dans le cadre des révisions de la loi sur le domaine national, des travaux de la commission des réformes foncières, ainsi que d’autres politiques de réformes foncières. Les agriculteurs qui sont producteurs, éleveurs, pêcheurs, artisans ont besoin d’aide pour faire face au phénomène d’accaparement de leurs terres qui a comme conséquence l’appauvrissement des populations et la destruction de l’environnement », a-t-il conclu.

FGS/KaolackInfos

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Kaolack: Les acteurs du secteur agricole expriment leurs attentes du Président Bassirou Diomaye Faye

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Les acteurs du secteur agricole attendent beaucoup du nouveau président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye. Avec l’avènement de ce dernier, les paysans espèrent la valorisation du secteur de l’agriculture.

Selon la présidente de l’association des femmes rurales du Sénégal, Adja Ndiouck Mbaye, le nouveau Chef de l’Etat doit consolider d’abord les acquis et ensuite valoriser l’agriculture. « Il y’a énormément de problèmes a régler dans le secteur de l’agriculture. Je peux citer la formalisation du statut juridique des exploitations familiales qui freine leur professionnalisation, la non disponibilité du régime de protection sociale pour les travailleurs qui évoluent dans le secteur agricole, l’inefficacité du système de financement agricole et rural, l’absence d’une bonne rémunération du travail des paysans et la protection des consommateurs. Il faut également la mise en œuvre de manière concrète et définitive d’une politique publique pour le secteur », a recommandé madame Mbaye.

À en croire cette dernière, le nouveau président doit soutenir et accompagner les agricultrices qui sans elles, le secteur allait mourir. Les femmes rurales sont très braves, ce sont elles qui font aujourd’hui tout le travail champêtre. On doit les aider et accompagner avec des financements, mettre à leur disposition de petits matériels agricoles, les subventionner les semences et l’engrais. Le pire encore, c’est qu’elles ne peuvent plus avoir accès aux terres. On doit organiser une assise de l’agriculture et du foncier afin de permettre à ces braves dames d’avoir accès aux terres pour contacter dès prêts entre autres. Nous attendons beaucoup du nouveau président du Sénégal. Seul le secteur agricole peut porter l’émergence du pays. Allez dans les grandes puissances vous verrez qu’elles ont pris la moitié de leurs richesses pour l’investir dans le secteur de l’agriculture. Le Sénégal a la terre, le soleil, l’eau et la matière grise pourquoi ne pas faire pareil. Le secteur agricole polarise 55% de la population du pays donc il faut valoriser l’agriculture si on veut vraiment tendre vers le développement », a ajouté Ndiouck Mbaye.

Selon Ibrahima Thiam, secrétaire général du syndicat des cultivateurs, maraîchers et éleveurs du Saloum, c’est à partir du secteur de l’agriculture que le président Bassirou Diomaye Faye doit passer pour développer le Sénégal. « Ce nouveau régime doit soutenir et accompagner le monde agricole concernant la subvention des semences, de l’engrais et du matériel agricole. Le nouveau président doit confier le secteur à une personne qui connait et qui maîtrise l’agriculture autrement un cultivateur mais pas à un technocrate qui va représenter un secteur dont il ne connait absolument rien du tout. Les paysans sont les parents pauvres du secteur agricole alors que c’est nous qui faisons tout le travail. Il doit nous aider également à avoir accès aux terres. La culture maraîchère aussi doit être revue. Dans ce cadre, il faut des formations et des financements pour les cultivateurs afin de permettre à ces derniers de participer à la réalisation de l’autosuffisance alimentaire », a dit monsieur Thiam.

Rappelons que le secteur agricole a toujours été perçu comme le socle sur lequel repose le développement socioéconomique du pays. Mais, depuis l’accession du Sénégal à la souveraineté internationale, les différents gouvernements qui se sont succédé peinent à mettre en place des politiques agricoles cohérentes qui prennent en compte la préservation de la biodiversité, la protection des petites exploitations agricoles familiales et les intérêts des paysans.

JC/FGS/KaolackInfos

 

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Cheikh T. Sarr (Les Cavaliers de la Sécurité Routière): « L’Etat perd plus de 250 milliards sur les accidents de la route »; et interpelle BDF

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L’Etat du Sénégal perd plus de 250 milliards sur les accident de la route et plus de 700 personnes y perdent la vie chaque année, a annoncé Cheikh Tidiane Sarr, président de l’Association nationale les Cavaliers de la Sécurité Routière. Des chiffres qui font froids sur le dos causés en partie par le mauvais état des routes mais surtout de la manière d’attribution des permis de conduire etc. Cependant, Mr Sarr interpelle le nouveau Président de la République, Bassirou Diomaye Faye…

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Élection de Diomaye: Entre promesses de campagne électorale autour d’un programme de rupture ,et la réalité de l exercice du pouvoir, peut on s’attendre à une effectivité ?

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Élection de Diomaye Faye comme Président de la République.
Entre promesses de campagne électorale autour d’un programme de rupture ,et la réalité de l exercice du pouvoir, peut on s’attendre à une effectivité ?

A la place, je crois fermement à une gouvernance qui tiendrait compte de la réalité de la conscience citoyenne et des possibilités qui n’affecteront pas l’équilibre macro économique de notre Etat.

En poussant trop le bouton vers des ruptures non maîtrisées, basées sur une orientation d’une planification qui ressemblerait à une posture populiste, on risquerait de reléguer les priorités de l’heure aux calendes grecques.
Il n’y a ni un reniement, ni une trahison, si l’exercice du pouvoir vous oblige à aborder certaines questions dans les limites des possibilités de l’état, de notre culture, et du niveau de conscience citoyenne collective qui a toujours pensé que l’alternance pour laquelle des millions de jeunes et des femmes se sont battus, serait la solution définitive immédiate et irréversible, de la pauvreté, de l’injustice, du manque d’emplois ,et de la répartition équitable des richesses du pays.

Il serait plus indiqué de donner un échéancier clair, aux différents segments du programme qui s’étalera sur cinq ans. Quelque soit la portée de ce programme alternatif et son incidence positive sur le vécu des populations, il faut avoir à l’esprit que la patience restera la meilleur attitude du moment.

Je souhaite pleins succès au Président Diomaye et à son futur gouvernement .

Ousmane Gueye Médina sabakh

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