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ÉDUCATION

Sibassor: L’Association Attitude Citoyenne offre des kits scolaires à des élèves nécessiteux

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A la veille de la rentrée scolaire, les actions sociales ne cessent de se multiplier. Attitude Citoyenne (AC), une association qui œuvre pour la citoyenneté, le développement local et l’action social n’a pas manqué l’occasion de jouer sa partition.

Ainsi, elle a offert, ce samedi 1 octobre 2022, des kits scolaires à une trentaine d’élèves de la commune de Sibassor, le tout pour un coût de 250 mille FCFA.

Cette action, selon Pape Ousmane Diouf, s’inscrit dans le cadre de la politique éducative de l’association dont il est le président. « Nous sommes réuni aujourd’hui dans le cadre d’une activité à caractère socio-éducatif. Nous avons initié une activité de distribution de Kits scolaires à l’endroit de 35 élèves issus de la commune de Sibassor. C’est une continuité des activités que nous menons depuis 2016 », a t-il fait savoir.

Ces kits composés de cahiers, de Bics, de règles, de crayons, d’ensemble géométriques, tailles crayon, ardoises, Crayons de couleur, de pagnes entre autres… vont permettre aux bénéficiaires de démarrer en toute beauté la rentrée scolaire. Ce don vient en quelques sorts alléger, la tâche de ces parents qui, en période d’ouverture des classes dépensent beaucoup pour l’éducation de leurs enfants. « Cette sélection s’est fait sur la base de critères, c’est à dire des enfants qui sont issus de familles démunies. On les a octroyé un lot de matériels pour soulager un peu les parents en cette période d’ouverture des classes qui s’avère très difficile », a ajouté Pape Ousmane Diouf.

Rappelons que l’Association Attitude Citoyenne compte 30 membres et est basée  à Sibassor, une commune du département de Kaolack.

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Kaolack: 9 435 candidats aux examens du Cfee, Bfem et Bac sont sans extraits de naissance

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Un comité régional de développement axé sur la préparation des examens de la sessions 2025 a été organisé ce mardi, à la salle de conférence de la gouvernance de Kaolack. L’objectif de cette rencontre était de faire le point sur le déroulement des examens, sur la situation des centres d’examen et celle des élèves sans extraits de naissance. La réunion présidée par le gouverneur de la région, a réuni les acteurs de l’éducation, les parents d’élèves, les élus locaux entre autres autorités locales.
La région de Kaolack enregistre 20 544 candidats au Certificat de Fin d’Etudes Élémentaire (CFEE), 13 308 candidats pour le Brevet de Fin d’Etudes Moyennes (BFEM).  273 sont inscrits pour le Bac technique (STEG) et 12 045 candidats pour le baccalauréat général. Selon l’inspecteur d’académie de Kaolack, il y’a 9 435 potaches qui risquent de ne pas être officiellement enregistrés aux examens pour manque d’extraits de naissance. « À Kaolack, 9. 435 candidats au Brevet de Fin d’étude Moyenne (BFEM) et au Baccalauréat, n’ont pas d’extraits de naissance. Nous avons 8.880 candidats sans extrait au CFEE sur un total de 20.544 et 555 candidats sans extraits de naissance pour le BFEM sur un total de 13.304. Les candidats sans extraits de naissance risquent d’être exclus des examens car l’extrait de naissance est exigé pour l’inscription officielle », a-t-il indiqué.
Au cours de cette rencontre des instructions ont été données par le chef de l’exécutif régional qui devraient permettre de poursuivre des démarches concernant la sécurisation des centres mais surtout la mise en place d’un dispositif de prévention des inondations.
JC
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Kaolack : Les anciens élèves du CEM Parcelles Assainies s’engagent pour leur ancienne école

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Le Collectif des anciens élèves du CEM Parcelles Assainies de Kaolack, en partenariat avec le mouvement citoyen And Soukali Sounou Gokh, a organisé une journée de nettoyage et de reboisement au sein de l’établissement.

Une initiative saluée par le principal Malick Thiaré, qui y voit un véritable acte de patriotisme. « Je suis comblé de voir d’anciens élèves contribuer à l’amélioration de la qualité de cette école. Ces anciens font notre fierté, a dit le censeur qui, selon lui, ce n’est pas la première initiative du Collectif des anciens élèves du CEM Parcelles Assainies de Kaolack.

À l’en croire, ils se sont toujours organisés. D’ailleurs, en début d’année, ils ont remplacé toutes les portes de l’école, qui étaient complètement délabrées. C’est un exemple de patriotisme. Cette mobilisation citoyenne a permis de mettre en lumière plusieurs urgences un manque criant de tables-bancs, des murs de clôture en ruine, ainsi qu’une toiture fortement dégradée, compromettant la sécurité des élèves et le bon déroulement des cours.

Le censeur en a profité pour lancer un appel aux autorités, les invitant à une collaboration saine.

Selon le docteur Abdou Padane, membre du collectif, un plan d’action a déjà été élaboré pour répondre de manière progressive aux besoins identifiés. « C’est une initiative des anciens, et nous voulons traiter ces urgences une à une. Le développement, c’est se regrouper et poser des actions efficaces », dit-il.

Dans le cadre du reboisement, chaque classe a reçu un arbre à entretenir, instaurant ainsi une dynamique de responsabilité collective autour de la préservation de l’environnement scolaire, selon Fatou Kiné Padane, cheffe du service de la promotion du développement territorial.

Le collectif prévoit de poursuivre ses actions dans les semaines à venir et lance un appel aux autorités, aux anciens élèves et à toutes les bonnes volontés pour soutenir cette démarche solidaire en faveur du développement du CEM Parcelles Assainies de Kaolack.

Ndeye Maty Gueye

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Kaolack/ Fête du 1er mai: Les enseignants affiliés à l’UDEN listent les problèmes et défis pour une éducation plus juste

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Les membres de l’Union Démocratique des Enseignants du Sénégal (UDEN), section département Kaolack, se sont rassemblés pour célébrer la fête du 1er mai au cœur de la ville de Kaolack. Une occasion pour ces travailleurs d’affirmer haut et fort leur détermination à défendre les droits des enseignants et à œuvrer pour une éducation pour tous.

Selon Abdoulaye Dia, secrétaire général départemental de l’UDEN le droit des travailleurs surtout ceux des enseignants doivent être respectés. « Aujourd’hui, nous ne célébrons pas seulement le travail, mais la dignité des travailleurs, en particulier celle des enseignants, qui sont les architectes de l’éducation, ceux qui forment les citoyens de demain. Le 1er mai est une journée de lutte. Il nous rappelle le combat de ceux qui ont payé le prix à travers leur engagement, afin que nous puissions être dans de meilleures conditions.
Nous devons nous lever ensemble pour un système éducatif plus juste, plus équitable et respectueux de ceux qui œuvrent pour sa réussite », a-t-il expliqué.

À l’en croire, aujourd’hui au Sénégal, les enseignants et enseignantes sont confrontés à de nombreux défis. Il s’agit entre autres, la sous-rémunération, le manque de moyens pour travailler dans de bonnes conditions, le surcharge des programmes, l’absence de formation continue, et surtout une reconnaissance institutionnelle souvent insuffisante de la part des autorités. Ces défis ne sont pas nouveaux, mais ils sont de plus en plus présents.

« Cette situation nécessite une réponse urgente et concrète. Il est temps de prendre en charge les revendications légitimes pour garantir un avenir plus serein. Défendre nos droits et améliorer nos salaires. Nous continuerons à nous battre pour la reconnaissance de nos actions. Cela doit être soutenu par une politique éducative sérieuse et ambitieuse. Il est de notre devoir de bâtir un avenir dans lequel chaque enfant sénégalais, peu importe son origine, ait accès à une éducation de qualité. Nous réaffirmons notre engagement pour un enseignement de qualité et pour le respect des droits des enseignants », a conclu Abdoulaye Dia, secrétaire général départemental de l’UDEN.

Ndeye Maty Gueye

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Mardi Gras à Sibassor/ Entre traditions, festivités et rêves d’avenir: Un enfant imite le gouverneur de Kaolack

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L’Institution préscolaire Thérèse Agnès Ndiaye de Sibassor a célébré le Mardi Gras ce 4 mars dans une ambiance festive, marquée par des danses, des chants et des déguisements annonçant la fin du temps ordinaire du calendrier liturgique.

Si la majorité des élèves ont opté pour des costumes traditionnels wolof, lébou ou autres, Samba Ndiaye s’est démarqué en incarnant le gouverneur de Kaolack, Mamadou Moctar Watt. Vêtu comme une autorité, il est arrivé sur une moto Jakarta ornée d’étiquettes de la gendarmerie et de la police, traduisant son rêve de devenir gouverneur. Samba promet à ses parents de bien travailler pour atteindre son objectif.

Cette journée haute en couleurs a permis aux enfants de s’exprimer librement avant d’accueillir le temps de carême.

Ndeye Maty Gueye

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