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Keur Seyni  Guèye: Le Puma célèbre le Bébé de l’Équité pour encourager les consultations pré et post natales

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L’heureux élu est né dans le poste de santé éponyme construit par le Programme d’urgence de modernisation des axes et territoires frontaliers (Puma) qui a célébré la troisième édition du  »bébé de l’équité » à Keur Seyni  Guèye.

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Fatick : Une femme tuée par balle dans son domicile conjugal à Dramé Ndiouwar

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Le village de Ndiouwar, situé dans la région de Fatick, a été le théâtre d’un drame familial ce dimanche. Une femme âgée d’une quarantaine d’années a été tuée par balle dans son domicile conjugal.

En larmes, la mère de la victime raconte :
« Il l’a tuée avec une arme à feu. Je l’ai aperçu et j’ai crié pour alerter tout le monde de fuir. C’est à ce moment qu’il est entré dans la chambre. Je me suis précipitée pour y entrer aussi. J’ai vu ma fille à terre, entourée d’une mare de sang. Je l’ai soulevée en criant : ma fille est morte. »

Le père de la victime revient sur l’origine de la dispute « L’histoire a commencé hier soir. Il lui avait demandé si elle s’était bien occupée du cheval. Elle a répondu que oui. Ensuite, il a commencé à s’énerver et s’en est pris à leur fils. Malgré tout cela, sa femme n’a rien dit. C’est à ce moment que les autres sont intervenus et ont emmené l’enfant chez un voisin.
Ce matin, vers 11 h, j’étais sorti. À mon retour, je suis tombé sur ce drame. »

Suspecté d’être l’auteur du meurtre, le mari de la victime a été lynché par des habitants. Grièvement blessé, il a été évacué à l’hôpital régional de Fatick, où il est placé sous surveillance sécuritaire, selon nos sources.

Le corps sans vie de la victime a été transporté à la morgue de l’hôpital régional. Une enquête a été ouverte par la brigade territoriale afin de déterminer les circonstances exactes de ce crime.

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ACTUALITES

Fatick: Le personnel de l’USSEN exposent ses difficultés face aux nombreux problèmes rencontrés

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Le Synapes tire la sonnette d’alarme pour évoquer les difficultés budgétaires du Crous de l’Ussein qui croule sous le poids de la dette. Avec des campus éparpillés entre Kaolack, Fatick et Kaffrine, la situation complique le travail du personnel.  

Le personnel de l’Université Sine-Saloum El Hadji Ibrahima Niass (Ussein) se trouve dans une situation précaire, confronté à des difficultés budgétaires majeures, à un endettement croissant du Crous et à des retards de salaire. Dans ce contexte, le Syndicat national des personnels de l’enseignement supérieur du Sénégal (Synapes) section Sine-Saloum (Synapes) a organisé un point de presse pour solliciter une intervention urgente de l’Etat.

Tidiane Cissokho, Secrétaire général du Synapes, a exprimé son inquiétude face à la stagnation des subventions allouées par l’Etat, qui s’élèvent à deux milliards de F Cfa depuis la création du Crous. «Ce montant est largement insuffisant. Les charges des universités augmentent chaque année et nous faisons face à des difficultés croissantes», a-t-il déclaré.

M. Cissokho a également révélé que le Crous est actuellement endetté à hauteur de sept milliards de F Cfa, soulignant qu’il s’agit d’un héritage de gestion antérieure. «Bien que nous reconnaissions cette réalité, nous appelons le gouvernement actuel à assumer ses responsabilités et à mettre en place des mesures adéquates. Malgré un effort récent de 600 millions de F Cfa pour l’enseignement supérieur, ces fonds sont déjà épuisés», a-t-il ajouté.

La situation est d’autant plus alarmante que les retards de salaire se multiplient, alors que le nombre d’étudiants et les charges de fonctionnement continuent d’augmenter. «Nous demandons à l’Etat de nous venir en aide et d’allouer un budget suffisant pour couvrir toutes les dépenses de l’Université Sine-Saloum», a insisté Tidiane Cissokho.

En dépit de ces difficultés, il a salué la résilience du personnel : «Nos agents font preuve d’un grand dévouement. Le nouveau directeur s’efforce de gérer la situation, mais cela ne suffit pas. De nombreux agents ne bénéficient ni d’allocation familiale ni de charges sociales. Nous avons beaucoup sacrifié pour permettre au Crous de fonctionner avec ces moyens limités.»

Les membres du Synapes ont également exprimé leur préoccupation concernant la livraison des chantiers des trois campus. «Il est impératif que nos locaux soient livrés rapidement. Nos sites sont dispersés dans les différents campus (Kaolack, Kaffrine et Fatick), ce qui complique notre travail, a-t-il souligné. Si le gouvernement ne prend pas en charge nos préoccupations avant la livraison du chantier, cela sera encore plus corsé pour nous, en tenant compte de l’accès du campus de Fatick qui se trouve à deux km de la ville», se préoccupe-t-il.

La prise en charge de ces doléances, selon Tidiane Cis­sokho, permettra d’assurer le bon fonctionnement de l’Us­sein au grand bonheur du corps professoral et des étudiants.

Avec Lequotidien

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Magal de Porokhane 2025/ Bilan provisoire de la BNSP: 88 victimes dont 2 morts et 12 accidents de la circulation enregistrés

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88 victimes dont deux morts ont été enregistrées dans le cadre du Magal de Porokhane édition 2025. Le bilan provisoire a été dressé par la Brigade Nationale des Sapeurs-Pompiers (BNSP) qui a effectué différentes interventions.

Selon le Commandant du Groupement d’incendie et de secours N° 3, Djibril Sall, « en la date du vendredi 7 février, 74 sorties ont été réalisées avec la prise en charge de 88 victimes, dont deux décès. Parmi ces interventions, 12 ont concerné des accidents de la circulation, causant 51 victimes, dont un décès et 15 blessés graves », a-t-il expliqué.
Le commandant Sall, de rappeler que pour cette édition du Magal, la BNSP a mobilisé 200 agents et 35 engins d’incendie.

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Magal de Porokhane: Des milliers de fidèles convergent vers la cité religieuse

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Le Magal de Porokhane est célébré, ce jeudi 6 février 2025. Toutes les voies mènent vers la ville sainte de Porokhane où les fidèles viennent par milliers pour rendre hommage à la Sainte mère du vénéré fondateur du Mouridisme, Cheikh Ahmadou Bamba Khadim Rassoul.

Les fidèles ont commencé très tôt leur Ziarra dans la cité religieuse surtout à la grande mosquée, au mausolée de Sokhna Diarra Bousso, au puits de Porokhane etc.

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