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Samba Ndiaye, Président du Parti-MDIS: Le Sénégal restera debout pour son développement intégral

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La candidature de Samba NDIAYE Président du Parti MDIS LIGGEEY SENEGAL CI JAMM a incontestablement marqué les esprits vers les élections qui devraient se tenir le 25 février 2024 et qui ont été reportées. Depuis la création de son Mouvement Démocratique pour le Développement Intégral du Sénégal- LIGGEEY SENEGAL en 2015, les actions menées illustrent amplement sa vision d’œuvrer pour l’épanouissement des populations en luttant contre la pauvreté et les disparités au sein du territoire national afin de préserver la dignité de chacun.

Armé de ses qualités personnelles et de ses compétences professionnelles, il a fini de convaincre nos concitoyens à croire à sa vision de développement intégral. C’est dans cette optique que s’inscrivent tous ses combats politiques qui ont connu un tournant décisif le 8 juin 2023 avec la création du Parti Mouvement Démocratique pour le Développement Intégral du Sénégal- LIGGEEY SENEGAL CI JAMM. Tout cela fut couronné par sa candidature à la Présidence de la République du Sénégal.

Déjà, en lançant le mouvement MDIS / LIGGEEY SENEGAL le 7 mai 2015, le Président Samba NDIAYE restait en phase avec une vision que partagent tous les sénégalais : le développement intégral du Sénégal et des sénégalais. Son objectif est de se déployer suivant des axes stratégiques, notamment le développement socioéconomique humain, durable, équilibré et harmonieux des territoires, la promotion d’un mode de gestion démocratique et intégral de l’ensemble des secteurs de notre économie nationale pour une croissance soutenue et durable au bénéfice des
populations.

Le 08 Juin 2023, après 08 ans d’existence le Mouvement Démocratique pour le Développement Intégral du Sénégal (MDIS/LIGGEEY SENEGAL) est devenu le PartiMDIS LIGGEEY SENEGAL CI JAMM à l’issue de son Assemblée Générale Constitutive. La sixième résolution de cette AG avait alors appelé les Sénégalais à une adhésion massive au Parti pour une implication active au développement intégral du pays.

Le contexte très propice choisi par Samba NDIAYE pour transformer son mouvement en parti démontre sa vision perspicace pour servir le Sénégal. Déjà les actions menées par MDIS hautement appréciées non seulement par les populations sénégalaises mais aussi par toutes les familles d’acteurs politiques sont des signes qui révèlent l’adhésion à sa vision de la majorité des sénégalais. Mieux encore, la naissance du P-MDIS est aussi une démarche prospective car presque un mois jour pour jour après la décision de l’Assemblée Générale Constitutive du 8 juin, le Président Macky SALL annonça lors de son discours du 3 juillet 2023 qu’il ne briguera pas un 3e mandat en 2024. Ce contexte a ouvert davantage le jeu démocratique où inéluctablement le Président Samba NDIAYE et le P-MDIS ont pris position par des initiatives, des démarches et des stratégies murement étudiées pour
servir le Sénégal.

Dans ce sillage, la déclaration de candidature a été actée le 26 août 2023 au CICES lors du lancement du parti. Puis, la réunion historique à Thiès le 30 septembre 2023 de 21h à l’aube a été décisive pour les préparatifs des élections, notamment la candidature et le parrainage.

La candidature de Samba NDIAYE Président du Parti MDIS LIGGEEY SENEGAL CI JAMM à l’élection présidentielle de 2024 a été accueillie avec enthousiasme par ses militants, amis, sympathisants et une grande majorité de la population sénégalaise à travers le pays. Cet engouement n’est guère surprenant en raison non seulement des actes qu’il a posés pour l’épanouissement des populations en luttant contre la pauvreté et les disparités au sein du territoire national afin de préserver la dignité de chacun, mais aussi de ses qualités personnelles et de ses compétences professionnelles qui ont fini de convaincre nos concitoyens à croire à sa vision de
développement intégral.

Donc, la candidature de Samba NDIAYE ne peut être considérée que comme une candidature de raison au seul profit du Sénégal. Son ouvrage publié en mai 2023 et intitulé « SENEGAL : DES SILLONS POUR SERVIR », avait aussi fini de convaincre de nombreux sceptiques.

Mais cette candidature a dérangé certains esprits envieux qui ont tenté vainement de la remettre en cause. Le plus surprenant, est que cette remise cause était venue principalement de ses alliés de l’époque membres de l’APR et de BBY. Ils ne pouvaient pas comprendre que Samba NDIAYE qui a longtemps accompagné le Président Macky SALL puisse déclarer sa candidature. Ce comportement relève de l’amnésie oubliant que c’est le Président Macky SALL lui-même qui a demandé son accompagnement depuis 2015, alors qu’il était déjà maire de Ndoffane sans le soutien de l’APR encore moins de BBY. En outre, sur le plan politique, il a été l’un des plus fidèles parmi les plus fidèles du
Président Macky SALL dont il a toujours été en phase avec ses programmes comme le PUDC, le PUMA, les BSF, la CMU entres autres. Par ailleurs, quand Macky SALL avait des problèmes avec le Président Abdoulaye WADE au sujet de Karim WADE, c’est Samba NDIAYE qui avait pris sa défense et avait offert sa médiation pour les rapprocher, avec l’appui de Me Madické NIANG alors ministre de la justice. A cette époque, personne ne pouvait imaginer que Macky SALL serait élu Président en 2012. Mieux, les compétences de Samba NDIAYE lui ont valu sa nomination à la tête de la Société des Infrastructures de Réparation Navale (SIRN S.A.) qu’il dirigea avec succès pendant près d’une douzaine d’années. Nommé à ce poste par le Président WADE en 2009, ses détracteurs ont oublié que Macky SALL l’a confirmé en raison de ses succès dans l’entreprise à tout point de vue.

Ces succès l’ont conduit aux Grands Trains du Sénégal (GTS S.A.) en septembre 2020 où le Président Macky SALL lui avait demandé de relever le défi de la relance du transport ferroviaire au Sénégal. Défi qu’il a relevé en un temps record avec la reprise de la circulation des trains lors du Magal et du Gamou 2023 au grand bonheur des populations nostalgiques du chemin de fer. Cette reprise exceptionnelle de la circulation des trains n’a pas échappé aux observateurs lucides non seulement de la presse nationale mais également de la presse internationale. Malheureusement, des lobbies tapis dans l’ombre ont conduit le Président Macky SALL à le limoger à la direction de GTS pour simple déclaration de candidature. Alors, on peut se poser la question sur le choix entre l’intérêt national du Sénégal et l’intérêt politique partisan du Président SALL, qui avait déclaré ne pas être candidat pour un 3e mandat. Ce n’était plus à lui de choisir un nouveau Président pour les sénégalais. Cela est vraiment dommage pour un pays qui aspire à l’émergence où l’on écarte délibérément des patriotes connus pour leurs compétences pour des raisons purement politiques et politiciennes. La même situation est arrivée au technocrate El Hadji Ibrahima SALL Président de la Commission d’Evaluation et de Suivi des Politiques et Programmes Publics. Ce qui est regrettable c’est que leurs successeurs, sans préjuger de leurs compétences sont surtout connus comme des professionnels
de la politique.

En quittant GTS-SA, Samba NDIAYE était fier d’avoir accompli une mission au service exclusif de sa nation. Il avait déclaré hic et nunc : « Je possède une vision, une expérience et une expertise qui, aujourd’hui, m’ont conduit, en ma qualité d’homme politique, à envisager le rôle de leader d’un parti politique et à aspirer au pouvoir. En tant que citoyen résidant dans un pays démocratique, j’ai officiellement soumis ma candidature. Mon objectif, partagé avec mes partisans, est de triompher lors de l’élection de 2024 et de servir le Sénégal en qualité de dévoué serviteur de la nation ».

D’ailleurs, son programme Yeurmandé orienté sur 5 axes prioritaires ont fini de démontrer à tous, que ce ne sont pas des postes de sinécure qui l’intéresse, mais son ambition c’est simplement le développement du Sénégal :
 Axe 1 Citoyenneté : service civique national avec l’apprentissage de
métiers en vue d’une insertion professionnelle garantie…
 Axe 2 Agriculture : aménagement de 1000 fermes agricoles avec un
revenu au moins égal au SMIG…
 Axe 3 Industrialisation de proximité et Artisanat : transformations des
produits locaux pour favoriser le consommer local et l’exportation…
 Axe 4 Aménagement du territoire : habitat rural avec création d’une
banque de l’habitat rural, péréquation entre collectivités territoriales pour
financer les infrastructures entre autres…
 Axe 5 Economie : 10% du capital aux travailleurs de chaque entreprise,
amélioration de l’IDH, réduction des importations renforcement d’un
partenariat multiforme…

La mobilisation des militants dévoués et engagés autour du candidat Samba NDIAYE a été exceptionnelle: cadres, jeunes, femmes, sages. Cela a été symbolisé par des nuits blanches de travail, le maillage du territoire national par l’ensemble des militants, la disponibilité remarquable de la diaspora. Les préparatifs pour le dépôt de candidature ont été ainsi minutieusement organisés avec des contrôles et vérifications de qualité à toutes les étapes de la procédure. Dès lors, le rejet de sa candidature comme d’autres fut un scandale national, mettant à nu les failles du Conseil Constitutionnel dont les explications fournies n’ont convaincu personne. D’ailleurs après ce rejet, de nombreux candidats retenus lui ont rendu visite, faisant ainsi preuve de son esprit ouverture. Les seules conditions qu’il exigea : l’intérêt supérieur du Sénégal et la prise en compte de son programme.

Les failles du Conseil Constitutionnel dans le contrôle du parrainage ont été opportunément exploitées par certains groupes de députés à l’Assemblée Nationale, conduisant à la situation de crise que l’on connait. Dans ce sens, le schéma de sortie de crise proposé par le Président Samba NDIAYE est plus réaliste. Il s’agit pour l’essentiel du départ du Président Macky SALL « le 2 avril, date de fin de son dernier mandat en cours. Dans ce cas, le Président de l’Assemblée Nationale assurera son intérim. Ainsi, conformément à l’article 31 de la constitution, il dispose d’un délai de 60 jours minimum et 90 jours maximum pour organiser l’élection présidentielle… ». En effet, soyons réalistes car objectivement les élections ne peuvent plus se tenir le 25 février 2024.

C’est la seule issue salutaire pour garantir la paix au Sénégal, comme l’indique le slogan du P-MDIS, liggey Senegal ci jamm. Cela éviterait de prolonger le mandat de Macky SALL jusqu’au 15 décembre 2024 au moins avec toutes les incertitudes et menaces qui planent sur la stabilité du pays. A partir de ce moment, le dialogue national que l’on souhaite pourrait se tenir durant l’intérim assuré par le Président de l’Assemblée Nationale.

Par ailleurs, plusieurs idées sont émises sur les réformes institutionnelles, notamment la réduction du « présidentialisme » à outrance. Là aussi, il faut être lucide et ne pas être guidé par le contexte de crise actuel. Il faut éviter une réforme institutionnelle qui conduirait au bicéphalisme dans l’exécutif qui a été à l’origine de la crise de 1962 entre Léopold Sédar SENGHOR et Mamadou DIA.

La seule lutte qui vaille est la mise en place d’institutions républicaines solides qui garantissent la séparation nette des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire. C’est la démocratie c’est-à-dire le pouvoir par le peuple et pour le peuple qui en sortira vainqueur. Alors et alors seulement le Sénégal restera debout pour son développement intégral.

Dr Moustapha KEBE membre de la cellule des cadres du P-MDIS

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Absence d’infrastructures de base: Les populations de Ndramé Escale dans la rue

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La commune de Ndramé Escale manque presque de tout. Les habitants de cette localité située dans le département de Nioro(région de Kaolack) n’ont pas manqué de manifester leur ras-le-bol face à la précarité que leur localité est confrontée. Arborant des brassards rouges, les populations de Ndramé Escale sont montées en créneau en descendant dans la rue pour manifester leur colère et interpeller les autorités. Aussi ont-elle remis un mémorandum aux autorités territoriales. 

L’absence d’infrastructures de base, de structures de santé adéquat dans certains villages, de pistes de production, d’électricité dans près de 13 villages et d’infrastructures hydrauliques plombe le développement de cette commune.
Également, le renforcement de la sécurité devient une priorité pour les habitants de cette localité afin de leur permettre de lutter contre les vols de bétail.
Selon les initiateurs de cette marche pacifique, l’éducation connaît aussi des problèmes avec un nombre déficitaire d’enseignants dans les établissements scolaires de la commune.
La manifestation a rassemblé une large part de la population : jeunes, femmes, leaders communautaires, notables, responsables religieux, membres d’Associations Sportives et Culturelles (ASC), groupements de femmes, élèves, enseignants, entre autres.
JC
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Contribution/ 50 ans de la CEDEAO : Changer ou Périr pour une renaissance de l’intégration ouest-africaine ( Par Babacar Touré)

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Du 18 au 20 juin 2025 à Dakar, Afrikajom Center, en partenariat avec la société civile ouest-africaine, organise une conférence régionale placée sous le thème : « La CEDEAO à 50 ans : Changer ou Périr – Pour une Renaissance de l’Intégration Régionale ».

Cette conférence régionale majeure réunira les États membres, la société civile, les universitaires, les médias et le secteur privé autour d’un carrefour d’idées. Au cœur des discussions : l’avenir de l’intégration ouest-africaine face aux défis contemporains.

Les participants analyseront en profondeur les enjeux actuels et élaboreront une feuille de route pour une CEDEAO renouvelée, plus proche des citoyens et mieux armée face aux défis du 21e siècle.

Organisée par Afrikajom Center, cette rencontre mobilisera plus de 50 experts et acteurs régionaux de premier plan. Les travaux s’articuleront autour de quatre axes principaux :

● Gouvernance et réformes institutionnelles

● Sécurité régionale et réponse aux crises

● Intégration économique et développement durable

● Innovation numérique et transformation digitale

Créée il y a un demi-siècle pour promouvoir l’intégration économique ouest-africaine, la CEDEAO traverse aujourd’hui une période charnière. Face aux défis sécuritaires croissants, aux tensions politiques et aux mutations socio-économiques, l’organisation doit se réinventer pour rester pertinente et efficace.

Le diagnostic est sans appel : la CEDEAO doit se transformer en profondeur, faute de quoi elle risque de perdre sa légitimité. Afrikajom Center plaide pour une refondation basée sur trois piliers : la démocratie participative, la justice sociale et la souveraineté collective.

Cette initiative s’inscrit dans la mission d’ Afrikajom Center de promouvoir une gouvernance régionale inclusive et démocratique. L’objectif est de catalyser une transformation profonde de la CEDEAO pour en faire une organisation véritablement au service des peuples ouest-africains.

Un partenariat stratégique en faveur du renouveau de la CEDEAO
En s’associant pleinement à cette activité aux côtés d’Afrikajom Center, AfricTivistes, réseau panafricain, réaffirme son engagement en faveur de la démocratie, de la bonne gouvernance et des droits humains, en parfaite cohérence avec la mission de la CEDEAO.

Depuis une décennie, à travers ses actions de veille citoyenne, de renforcement des capacités des organisations de la société civile, de lutte contre la désinformation et les restrictions numériques, ou encore de promotion des technologies civiques pour une participation inclusive, AfricTivistes contribue activement à la consolidation démocratique sur le continent.

Son implication dans l’observation électorale, la prévention des conflits et la mobilisation citoyenne, notamment des jeunes, s’aligne avec les objectifs du Protocole sur la démocratie et la bonne gouvernance de la CEDEAO, tout en renforçant la coopération régionale à travers des initiatives transnationales portées par les citoyens eux-mêmes.

La commémoration des 50 ans de la CEDEAO est donc envisagée comme un moment de rupture, une bascule vers une nouvelle ère d’intégration, plus horizontale, plus juste et plus ancrée dans les réalités sociales, politiques et économiques de l’Afrique de l’Ouest.

Parce que changer, c’est survivre. Et refonder, c’est construire ensemble l’avenir de la région.

Par Babacar Touré, journaliste

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Kaolack: 9 435 candidats aux examens du Cfee, Bfem et Bac sont sans extraits de naissance

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Un comité régional de développement axé sur la préparation des examens de la sessions 2025 a été organisé ce mardi, à la salle de conférence de la gouvernance de Kaolack. L’objectif de cette rencontre était de faire le point sur le déroulement des examens, sur la situation des centres d’examen et celle des élèves sans extraits de naissance. La réunion présidée par le gouverneur de la région, a réuni les acteurs de l’éducation, les parents d’élèves, les élus locaux entre autres autorités locales.
La région de Kaolack enregistre 20 544 candidats au Certificat de Fin d’Etudes Élémentaire (CFEE), 13 308 candidats pour le Brevet de Fin d’Etudes Moyennes (BFEM).  273 sont inscrits pour le Bac technique (STEG) et 12 045 candidats pour le baccalauréat général. Selon l’inspecteur d’académie de Kaolack, il y’a 9 435 potaches qui risquent de ne pas être officiellement enregistrés aux examens pour manque d’extraits de naissance. « À Kaolack, 9. 435 candidats au Brevet de Fin d’étude Moyenne (BFEM) et au Baccalauréat, n’ont pas d’extraits de naissance. Nous avons 8.880 candidats sans extrait au CFEE sur un total de 20.544 et 555 candidats sans extraits de naissance pour le BFEM sur un total de 13.304. Les candidats sans extraits de naissance risquent d’être exclus des examens car l’extrait de naissance est exigé pour l’inscription officielle », a-t-il indiqué.
Au cours de cette rencontre des instructions ont été données par le chef de l’exécutif régional qui devraient permettre de poursuivre des démarches concernant la sécurisation des centres mais surtout la mise en place d’un dispositif de prévention des inondations.
JC
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Élections municipales 2027 à Kaolack: Ansoumana Dione investit Moussa Fall de l’Aprodel

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C’est au cours de la troisième édition de la journée dédiée en la mémoire du prophète Mohamed (PSL) que le président de l’association sénégalaise des malades mentaux errants (ASSAM), Ansoumana Dione a invité les kaolackois à faire de Moussa Fall, le président du parti Aprodel, le prochain maire de la commune de Kaolack. Selon lui, Moussa Fall est le profil qu’il faut pour mener la ville de Kaolack sur les rampe de l’émergence

Ansoumana Dione n’a pas manqué de manifester son soutien et son accompagnement à l’endroit du leader du parti Aprodel. « Nous avons demandé le bon Dieu, en cette journée de prière  de faire le président Moussa Fall le prochain maire de Kaolack. Il est un personne dynamique un patriote qui aime son terroir et la ville de Mbossé a besoin de ses fils qui se sont toujours battu pour l’intérêt de tout Kaolack », a t’il dit.

« Nous avons initié cet après-midi une séance de prière pour rappeler des enseignements du prophète Mohamed PSL. Dans des situations pareilles il faut préconiser la solidarité. Chaque individu doit considérer son voisin comme sa propre personne. Nous avons prié pour la paix et la stabilité du pays. Nous ne pouvons pas parler de stabilité sans l’unité des cœurs et des esprits. Dans une situation économique très désastreuse, il faut s’en remettre à Dieu et prier. Nous devons arrêter de nous lamenter et s’en remettre à Dieu. Il appartient aux sénégalais d’œuvrer pour la paix et le développement du pays », a-t-il souligné.

Venu assister à cette séance de prières, le président Moussa Fall a rappelé les enseignements du prophète Mohamed PSL avant de féliciter et remercier monsieur Dione pour l’espoir qu’il porte sur sa personne.

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