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Tabaski: Le tatouage fait des émus chez les femmes

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Tous les moyens sont bons pour se faire belle le jour de la fête de tabaski. Nous sommes au marché central de Kaolack. Ici, il y’a une longue file d’attente Chez Khadim Tatouage pour la nouvelle tendance des femmes et des filles, le tatouage.

Esthétique, manucure, tatouage ect sont autant de soin de beauté prisés par les femmes au détriment du henné traditionnel.
Ķhadim tatouage est dans le métier depuis 5 ans, a-t’il avancé avant d’ajouter que cette activité marche très bien surtout en cette période de tabaski et nous savons conmment les satisfaire en les rendant belle. Toujours selon ce trentenaire, le tatouage est beaucoup plus simple, rapide et moins coûteux avec de multiples disigns qui sont laissés au choix des clientes choisissent.
De l’autre côté du centre commercial se trouver Mbaye tatouage qui est le chouchou de beaucoup de femmes kaolackoises concernant le tatouage.
Pour Mbaye tatouge l’application du henné traditionnel tend à disparaître, d’ailleurs c’est les vieilles dames qui l’appliquent. Selon, ce tatoueur, c’est beaucoup plus fashion d’appliquer le tatouage que l’henné surtout chez les jeunes femmes.
Interrogé sur les risques sanitaires, Mbaye tatouge de préciser : « c’est un produit naturel que nous utilisons. En réalité c’est du henné, mais amélioré. Le tatouage disparaît au bout de quelques jours, donc le client ne court aucun risque sur le plan santé ».
Venue se faire tatouer, Mame Kene est une habituée de la nouvelle tendance de beauté pour chaque événement. Elle se dit satisfaite par le travail artistique de ces jeunes. Et Mame Kene d’avancer que l’application de l’henné est compliquée et prend du temps par rapport au tatouge qui est simple et vite fait.
A Kaolack, la plupart des femmes interrogées sur le sujet disent « se démarquer du henné traditionnel » et très « satisfaites de la nouvelle tendance beauté qu’elles trouvent chez les tatoueurs « 
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Kaolack: Un individu arrêté avec 11 kg de chanvre indien

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La Brigade Régionale des Stupéfiants (BRS) de Kaolack a procédé à l’interpellation d’un individu avec 11 kg de chanvre indien, au quartier Kassaville de la ville éponyme.
selon la Police, cette interpellation fait suite à l’exploitation d’un renseignement opérationnel.

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Manque d’eau à Ngathie Naoudé : Les populations de Ngoloum interpellent les autorités

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À Ngoloum, village du département de Guinguinéo (commune de Ngathie Naoudé), l’eau ne coule plus des robinets. Les populations de cette localité vivent depuis plusieurs mois un manque criant d’eau. « Nous manquons d’eau. Nous ne savons plus comment préparer nos repas ni abreuver nos animaux », se désolent les habitants, dénonçant une situation qui perdure sans solution durable.

Ils rappellent  « pour la deuxième fois, une citerne dépêchée depuis Guinguinéo est venue leur apporter une aide temporaire, un soulagement de courte durée », disent-ils.

Face à cette urgence, les populations réclament la construction d’un nouveau forage et appellent le maire ainsi que les bonnes volontés à agir rapidement, rappelant que l’accès à l’eau est vital.

Ndeye Maty Gueye

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Drame à Kaolack: Un jeune se donne la mort par pendaison

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C’est l’émoi et la consternation à Kaolack où un jeune d’une vingtaine d’années s’est donné la mort par pendaison. Le drame s’est produit, ce vendredi 25 avril, au Centre d’éducation populaire et sportive de Kaolack. Selon une source, le corps sans vie a été découvert par un conducteur de moto vélo taxi tout juste avant la prière de vendredi.

Déployée sur les lieux, la police a procédé aux constatations d’usage.

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Kaolack : Installation des comités régional et départemental installés pour la lutte contre la migration irrégulière

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Le Comité interministériel de lutte contre la migration irrégulière (CILMI) a procédé, ce Mardi 22 avril 2025, à l’installation des comités régional et départemental de Kaolack. Cette initiative vise à renforcer la lutte contre l’immigration clandestine, un phénomène qui continue d’endeuiller de nombreuses familles sénégalaises, en particulier les jeunes.

La cérémonie d’installation des comités régional et départemental de lutte contre la migration irrégulière à Kaolack a été présidée par Mouhamadou Moctar Watt, gouverneur de la région, en présence du préfet. Ces comités regroupent des élus locaux, chefs de services, membres des renseignements généraux, représentants d’ONG, partenaires techniques et financiers, autorités religieuses et coutumières, ainsi que des membres d’associations de migrants, entre autres. Selon le Dr Modou Diagne, secrétaire permanent du CILMI au ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique, ces structures locales sont prévues par le décret instituant le comité interministériel. Elles ont pour mission d’appliquer, sur le terrain, les orientations nationales. « Il s’agit d’une volonté du Président de la République de territorialiser la lutte contre la migration irrégulière, en impliquant directement les communautés à la base dans l’élaboration et la mise en œuvre des politiques publiques », a-t-il déclaré.

Des stratégies à l’échelle nationale ont été élaborées autour de plusieurs axes : la prévention, la réinsertion des migrants de retour, la gestion des frontières, la répression, ainsi que des mesures d’appui et d’accompagnement.

Ces comités décentralisés doivent permettre une réponse plus adaptée aux réalités locales. L’objectif est de coordonner les actions entre les différents acteurs afin d’endiguer un phénomène qui compromet gravement l’avenir de la jeunesse.
« En 2024, nous avons repêché 105 corps sans vie, sans compter ceux disparus en mer ou dans le désert. Des femmes ont été victimes d’abus sexuels au cours de leur parcours, et des enfants ont subi diverses formes de violence. Pour faire face à ces drames, il est impératif de travailler en synergie, du niveau local jusqu’au sommet de l’État », a alerté Dr Diagne.

Cette nouvelle étape marque une volonté affirmée de structurer la riposte contre la migration irrégulière à travers une approche participative, inclusive et de proximité.

Ndeye Maty Gueye

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