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Affaire Ousmane Sonko/Adji Sarr: La vulnérabilité au cœur de la partie (Par Mamadou Ba)

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La vulnérabilité ?

Elle décrit le caractère de quelque chose de fragile ou encore de sensible. Il peut s’agir plus généralement de faiblesse. Le fait divers qui pollue aujourd’hui la place publique est de la pure vulnérabilité des deux parties. En effet Adji sarr une fille de 20 ans dit on a accusé de viol le dénommé Ousmane sonko. Une histoire rocambolesque difficile à avaler pour des raisons simple que nous avons tous constaté. Mais qui est Adji sarr? Son nom est connu par le grand public et d’ores et déjà, elle rentre tristement dans l’histoire du Sénégal. Adji est orpheline de mère à bas âge son éducation mouvementée, ses etudes écourtés à la recherche de lendemain meilleure. Elle a commencé naturellement à chercher du travail. Au Sénégal naturellement on comprend pertinemment sa démarche étant dans une situation de besoin, la seule solution qui s’offre à lui est de travailler. Adji est recruté dans un salon de massage où le salaire n’est pas aussi fameux et ne couvre pas ses besoins mais néanmoins elle est fière de masser l’homme à abattre. Ces bourreaux si je peux m’exprimer ainsi, se ont profité de sa vulnérabilité pour monter leur coup précipiter pour ne pas dire nulle. Adji étant l’actrice principale mais ne maîtrise absolument rien des faits, le scénariste aussi n’a pas l’art de faire des deals. Il ou elle pouvait demander à Adji de crier au moment où elle était seule avec son violeur au moins ça serait beaucoup plus cohérent et elle aurai le témoignage du mari de la propriétaire à sa faveur mieux on aura un élément qui permet de définir un viol. Un coup précipité laissant beaucoup d’incohérences, et pas plus tard qu’hier dans l’émission JAKARLO du TFM une autre contradiction mais cette foi ci beaucoup plus grave. En effet un chroniqueur affirme qu’Adji Sarr lui a di qu’elle avait porté plainte il y’a à peine un mois mais la gendarmerie lui avait demandé d’amener des preuves a ses allégations. Une affirmation aussi grave qui pèse sur la gendarmerie.

A l’inverse Ousmane sonko leader politique sénégalais que d’aucun surnomme Mamadou Dia bis, a vu sa courbe connaître une croissance exponentielle. Par ailleurs difficile est de comprendre pourquoi Ousmane sonko n’accepte pas la posture qu’il occupe. Il est victime de sa modestie et de son humilité. Il est vrai de le dire qu’Ousmane sonko n’a pas bien appliqué à sa juste valeur le conseil que lui avait donné notre grand père Me Abdoulaye Wade. Il faut oser le dire aussi, se rendre dans un salon de massage n’est pas un délit ni un crime mais pour un leader qui a été averti devait prendre toutes ses précautions. Me Abdoulaye wade a parfaitement raison on a user de la vulnérabilité d’Ousmane sonko pour aboutir à ce fait qui risque de nous mener dans des lendemain sombre. Je voudrai terminer avec cette définition qui dit » Un système aussi injuste ne peut se maintenir qu’en tenant la population dans l’ignorance et la vulnérabilité. » Force est de constater que la population sénégalaise n’est pas ignorante. Le Sénégal est notre pays et on a tous intérêt à maintenir la cohésion sociale. Conjuguons nos force pour aboutir à un objectif commun celui de l’émergence. Un pays juste où tous les citoyens seront égaux devant la justice où l’Assemblée nationale sera beaucoup plus responsable que ce que l’on a l’habitude de voire. Notre pays nous devons le construire dans la dignité, le respect, la vérité, l’égalité et la démocratie… Yalla na diam sakhh.. Mamadou Ba météorologue .

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Kaolack: Un individu arrêté avec 11 kg de chanvre indien

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La Brigade Régionale des Stupéfiants (BRS) de Kaolack a procédé à l’interpellation d’un individu avec 11 kg de chanvre indien, au quartier Kassaville de la ville éponyme.
selon la Police, cette interpellation fait suite à l’exploitation d’un renseignement opérationnel.

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Manque d’eau à Ngathie Naoudé : Les populations de Ngoloum interpellent les autorités

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À Ngoloum, village du département de Guinguinéo (commune de Ngathie Naoudé), l’eau ne coule plus des robinets. Les populations de cette localité vivent depuis plusieurs mois un manque criant d’eau. « Nous manquons d’eau. Nous ne savons plus comment préparer nos repas ni abreuver nos animaux », se désolent les habitants, dénonçant une situation qui perdure sans solution durable.

Ils rappellent  « pour la deuxième fois, une citerne dépêchée depuis Guinguinéo est venue leur apporter une aide temporaire, un soulagement de courte durée », disent-ils.

Face à cette urgence, les populations réclament la construction d’un nouveau forage et appellent le maire ainsi que les bonnes volontés à agir rapidement, rappelant que l’accès à l’eau est vital.

Ndeye Maty Gueye

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Drame à Kaolack: Un jeune se donne la mort par pendaison

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C’est l’émoi et la consternation à Kaolack où un jeune d’une vingtaine d’années s’est donné la mort par pendaison. Le drame s’est produit, ce vendredi 25 avril, au Centre d’éducation populaire et sportive de Kaolack. Selon une source, le corps sans vie a été découvert par un conducteur de moto vélo taxi tout juste avant la prière de vendredi.

Déployée sur les lieux, la police a procédé aux constatations d’usage.

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Kaolack : Installation des comités régional et départemental installés pour la lutte contre la migration irrégulière

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Le Comité interministériel de lutte contre la migration irrégulière (CILMI) a procédé, ce Mardi 22 avril 2025, à l’installation des comités régional et départemental de Kaolack. Cette initiative vise à renforcer la lutte contre l’immigration clandestine, un phénomène qui continue d’endeuiller de nombreuses familles sénégalaises, en particulier les jeunes.

La cérémonie d’installation des comités régional et départemental de lutte contre la migration irrégulière à Kaolack a été présidée par Mouhamadou Moctar Watt, gouverneur de la région, en présence du préfet. Ces comités regroupent des élus locaux, chefs de services, membres des renseignements généraux, représentants d’ONG, partenaires techniques et financiers, autorités religieuses et coutumières, ainsi que des membres d’associations de migrants, entre autres. Selon le Dr Modou Diagne, secrétaire permanent du CILMI au ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique, ces structures locales sont prévues par le décret instituant le comité interministériel. Elles ont pour mission d’appliquer, sur le terrain, les orientations nationales. « Il s’agit d’une volonté du Président de la République de territorialiser la lutte contre la migration irrégulière, en impliquant directement les communautés à la base dans l’élaboration et la mise en œuvre des politiques publiques », a-t-il déclaré.

Des stratégies à l’échelle nationale ont été élaborées autour de plusieurs axes : la prévention, la réinsertion des migrants de retour, la gestion des frontières, la répression, ainsi que des mesures d’appui et d’accompagnement.

Ces comités décentralisés doivent permettre une réponse plus adaptée aux réalités locales. L’objectif est de coordonner les actions entre les différents acteurs afin d’endiguer un phénomène qui compromet gravement l’avenir de la jeunesse.
« En 2024, nous avons repêché 105 corps sans vie, sans compter ceux disparus en mer ou dans le désert. Des femmes ont été victimes d’abus sexuels au cours de leur parcours, et des enfants ont subi diverses formes de violence. Pour faire face à ces drames, il est impératif de travailler en synergie, du niveau local jusqu’au sommet de l’État », a alerté Dr Diagne.

Cette nouvelle étape marque une volonté affirmée de structurer la riposte contre la migration irrégulière à travers une approche participative, inclusive et de proximité.

Ndeye Maty Gueye

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