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Le nouveau régime et le sabotage des projets d’investissement (Par Dr Abdourahmane Ba)

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Un investissement de plusieurs centaines de millions, soigneusement épargnés tout au long de ma carrière professionnelle et sans avoir jamais été associé à aucun syndicat, avait été réalisé il y a quelques années dans une des banlieues de la ville de Kaolack, Kabatoki.

Cette initiative visait à revitaliser l’économie locale d’une communauté empreinte de dignité et de vaillance, incarnant un Sénégal que le monde continuera de découvrir avec émerveillement.

Cependant, cet élan de prospérité fut l’objet de la rancœur des forces obscures de l’immobilier à Kaolack, déterminées à saper toute initiative d’essor économique. Car il existe bel et bien un lobby d’hommes politico-affairistes, composé d’anciens ministres et d’individus sans scrupule, qui s’arrogent toutes les opportunités immobilières et entravent tout nouvel investissement susceptible de troubler leur hégémonie. Ainsi, un entrepreneur véreux, célèbre pour ses démêlés judiciaires, a été sollicité pour simuler un intérêt dans mon projet immobilier, prétendant vouloir louer une vaste partie des espaces. En réalité, c’était une supercherie, et soutenu par ce lobby puissant, cet homme d’affaires misérable a tenté de me duper. Je l’ai finalement chassé, tel un nuisible, avec la détermination de qui se défend de l’injustice.

Tandis que je savourais cette première victoire contre le lobby qui continue de saboter mes récentes initiatives, j’ai exprimé avec ferveur et conviction sur les réseaux sociaux des critiques contre le nouveau gouvernement « pastefien », destinées à faire progresser notre nation. Ces interventions, inspirées par un ardent désir de changement positif, ont déclenché la réaction d’un ministre politicien, lequel a actionné la société Sen Eau, concessionnaire en charge de la gestion de l’eau au Sénégal, opérant sous son influence, pour s’en prendre à un investisseur sénégalais irréprochable comme moi. Ainsi, sans aucune dette impayée, ils ont saboté mon immeuble par le retrait du compteur principal d’eau, le jour même où un client potentiel devait visiter les lieux. C’est un véritable monde à l’envers.

Après plus de cent jours au pouvoir, le régime peine à définir sa déclaration de politique générale et continue de tâtonner, levant obligations et eurobonds pour se présenter sous un jour favorable à l’international. Leur stratégie du « gatsa gatsa » se révèle être un outil de terreur à l’encontre des Sénégalais dignes qui vivent de la sueur de leur front. Devenus « inspecteurs des impôts » enrichis par le corporatisme, ils ont omis d’inspecter le terrain avant de s’engager dans cette voie tortueuse.

Je demeure serein. Après constatation par huissier, je vais poursuivre en justice la Sen Eau, empêtrée dans des manœuvres politiciennes orchestrées par un ministre insensé, encore incapable de justifier le limogeage du directeur général de l’ONAS après à peine soixante jours de nomination. Qui nous avait promis que ces postes seraient attribués par appel d’offres ?

Lorsque le mensonge s’ajoute à une dictature rampante, portée par un gouvernement « gatsagatsiste », ce sont les populations qui en subissent les conséquences, ajoutant à leur fardeau de pauvreté, d’insécurité alimentaire, de chômage et de sous-emploi des jeunes, ainsi qu’à la cherté de la vie, la corruption et la mauvaise gouvernance. Ces fléaux, contre lesquels le « gatsa-gatsa » aurait dû être dirigé, continuent de miner notre société.

Dr Abdourahmane Ba
Kabatoki, Kaolack

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Kaolack: Un individu arrêté avec 11 kg de chanvre indien

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La Brigade Régionale des Stupéfiants (BRS) de Kaolack a procédé à l’interpellation d’un individu avec 11 kg de chanvre indien, au quartier Kassaville de la ville éponyme.
selon la Police, cette interpellation fait suite à l’exploitation d’un renseignement opérationnel.

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Manque d’eau à Ngathie Naoudé : Les populations de Ngoloum interpellent les autorités

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À Ngoloum, village du département de Guinguinéo (commune de Ngathie Naoudé), l’eau ne coule plus des robinets. Les populations de cette localité vivent depuis plusieurs mois un manque criant d’eau. « Nous manquons d’eau. Nous ne savons plus comment préparer nos repas ni abreuver nos animaux », se désolent les habitants, dénonçant une situation qui perdure sans solution durable.

Ils rappellent  « pour la deuxième fois, une citerne dépêchée depuis Guinguinéo est venue leur apporter une aide temporaire, un soulagement de courte durée », disent-ils.

Face à cette urgence, les populations réclament la construction d’un nouveau forage et appellent le maire ainsi que les bonnes volontés à agir rapidement, rappelant que l’accès à l’eau est vital.

Ndeye Maty Gueye

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Drame à Kaolack: Un jeune se donne la mort par pendaison

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C’est l’émoi et la consternation à Kaolack où un jeune d’une vingtaine d’années s’est donné la mort par pendaison. Le drame s’est produit, ce vendredi 25 avril, au Centre d’éducation populaire et sportive de Kaolack. Selon une source, le corps sans vie a été découvert par un conducteur de moto vélo taxi tout juste avant la prière de vendredi.

Déployée sur les lieux, la police a procédé aux constatations d’usage.

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Kaolack : Installation des comités régional et départemental installés pour la lutte contre la migration irrégulière

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Le Comité interministériel de lutte contre la migration irrégulière (CILMI) a procédé, ce Mardi 22 avril 2025, à l’installation des comités régional et départemental de Kaolack. Cette initiative vise à renforcer la lutte contre l’immigration clandestine, un phénomène qui continue d’endeuiller de nombreuses familles sénégalaises, en particulier les jeunes.

La cérémonie d’installation des comités régional et départemental de lutte contre la migration irrégulière à Kaolack a été présidée par Mouhamadou Moctar Watt, gouverneur de la région, en présence du préfet. Ces comités regroupent des élus locaux, chefs de services, membres des renseignements généraux, représentants d’ONG, partenaires techniques et financiers, autorités religieuses et coutumières, ainsi que des membres d’associations de migrants, entre autres. Selon le Dr Modou Diagne, secrétaire permanent du CILMI au ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique, ces structures locales sont prévues par le décret instituant le comité interministériel. Elles ont pour mission d’appliquer, sur le terrain, les orientations nationales. « Il s’agit d’une volonté du Président de la République de territorialiser la lutte contre la migration irrégulière, en impliquant directement les communautés à la base dans l’élaboration et la mise en œuvre des politiques publiques », a-t-il déclaré.

Des stratégies à l’échelle nationale ont été élaborées autour de plusieurs axes : la prévention, la réinsertion des migrants de retour, la gestion des frontières, la répression, ainsi que des mesures d’appui et d’accompagnement.

Ces comités décentralisés doivent permettre une réponse plus adaptée aux réalités locales. L’objectif est de coordonner les actions entre les différents acteurs afin d’endiguer un phénomène qui compromet gravement l’avenir de la jeunesse.
« En 2024, nous avons repêché 105 corps sans vie, sans compter ceux disparus en mer ou dans le désert. Des femmes ont été victimes d’abus sexuels au cours de leur parcours, et des enfants ont subi diverses formes de violence. Pour faire face à ces drames, il est impératif de travailler en synergie, du niveau local jusqu’au sommet de l’État », a alerté Dr Diagne.

Cette nouvelle étape marque une volonté affirmée de structurer la riposte contre la migration irrégulière à travers une approche participative, inclusive et de proximité.

Ndeye Maty Gueye

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