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Laylatoul Katmya 2024: Retour sur la vie et l’œuvre de Cheikh Assane Déme, le premier a avoir célébré cette nuit au Sénégal

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La nuit du Katmiya de l’édition 2024 est prévue le 22 août prochain à Kaolack à la cité religieuse de Médina Baye devant le domicile de feu Cheikh Hassan Dème, un Grand érudit de l’islam, le premier chef religieux à avoir célébré cette grande nuit au Sénégal.

Retour sur sa vie et son œuvre.

La nuit du Laylatoul Katmya ou « Goudi Cheikh » marque l’entrée de Cheikhou Tijane, fondateur de la confrérie Tijanya, au rend suprême (Pôle Caché). Cette nuit (prévue cette année le 23 Août ) a été célébrée pour la première fois au Sénégal par Cheikh Assane Déme.

Retour sur la vie et l’œuvre de ce fervent disciple de Elhadji Ibrahima Niass Baye (Toucouleur Baye).

Son enfance et son éducation :

Cheikh Al-Hassane Dem est né dans le village de Sinthiou-Dangthé dans l’actuel Podor en 1920, soit en 1340 H. Il est fils de Mouhamed Samba Moussa et de Fatoumata Kelly, fille d’Ilymâne Bôyil. Il a grandi à Sinthiou-Dangthé jusqu’à l’âge de sept ans. A cet âge il se rendit chez son grand-père Ilymâne Bôyil, où il entreprit ses études coraniques auprès de son oncle paternel El Hadj Abdoul Kelly. Il se rendit d’abord à Kanel où il rencontra un grand savant répondant au nom de Thierno Sa-îd Chu-arâ. Il est resté à côté de lui quatorze ans durant lesquels il apprit les sciences islamiques : La loi islamique, la littérature arabe, la syntaxe et la morphologie, les fondements de la loi, l’étymologie, la logique, la rhétorique etc. Il se mit entièrement à son service. Ce dernier l’aimait d’un amour profond. Il se plaisait à le regarder longuement et lui disait à la suite : « J’espère que tu trouveras la grande ouverture (Al Fatha) et que tu accèderas à l’enceinte scellée du Seigneur (Al- wussûl) » Il ne cessa de lui répéter cela car ayant aperçu sa grande préoccupation pour la science et son assiduité dans l’adoration divine. Enfin, il reçut de ce Cheikh, les sciences de la voie de Cheikh Ahmed Tidiane et de ses secrets.

Les circonstances de sa rencontre avec Cheikh Ibrahim Niass Son compagnonnage avec Lui :

Un jour, Thierno Sa’îd Chu’arâ partit à la Mecque en pèlerinage et laissa à Cheikh al-Hassane Dem la charge des siens. Il s’occupa de ses affaires pendant des années. Alors qu’il revenait du pèlerinage, il rendit l’âme dans un village appelé Umudurman. La nouvelle de son décès attrista profondément Cheikh al-Hassane Dem. Il passa la première nuit après ce décès à méditer sur la situation en se demandant où il pourrait bien trouver un maître semblable qui excellait dans la science, dans le noble caractère, dans la religion et dans la sincérité envers Dieu, par lequel il accèderait à ses buts. Le sommeil le trouva dans cette expectative. Il vit alors en songe Cherif Mohamed Al Makhtar, un saint vertueux, qui lui donna trois poignées de mil. Il lui donna une première poignée et lui demanda de la manger ; ce qu’il fit. Il trouva que le mil était comme du sucre. Il lui donna une deuxième poignée et la même scène se répéta. Quand il lui donna une troisième poignée et lui demanda de manger, Cheikh Al-Hassane se dit en son for intérieur : « Ce grand saint me donne du mil, au lieu de prier pour moi ». Il finit par lui dire :« Ô Chérif prie pour moi ». Il répondit : « Que voulez-vous ? ». Il lui dit : « La science et la connaissance de Dieu (ma’rifa billah) ». Il commença à prier sans que Cheikh al-Hassane n’entende ce qu’il disait. Ensuite il cracha sur ses mains jusqu’à ce qu’elles se soient mouillées et blanches de ses crachats. Il mangea le mil blanc des crachats. A peine Cherif Mouhammad Mukhtar s’est-il retourné, qu’apparut Thierno Sa’îd Chu’arâ, dans le même songe, dans des habits verts dans un âge très jeune. Il lui dit en souriant : « as-tu vu Mouhammad Al Makhtar ? ». A la suite d’une réponse positive, il lui dit encore : « a-t-il prié pour toi ? ». Il répondit par l’affirmative. Il lui dit alors : « Moi aussi j’ai prié pour toi, pour que tu obtiennes tous les bienfaits ; celui que tu cherches se trouve dans l’Ouest ». Cheikh lui demanda des précisions et il lui dit : « Vas à Kaolack pour y trouver Cheikh El Hadj Ibrahima Niass ; il n’y a pas sur la terre quelqu’un plus connaissant Dieu que lui ». Quand il se réveilla, il écrivit une lettre adressée à El Hadj Ibrahima Niass, avec pour toute adresse : Kaolack. Il n’avait jamais entendu son nom auparavant et ne le connaissait pas du tout. Celui-ci répondit en lui envoyant dans la lettre les litanies à réciter (zikr) avant leur rencontre. Il lui annonça dans la lettre beaucoup de choses que Dieu a réalisées par la suite.

Il quitta alors le Fouta pour Kaolack pour y rencontrer le Shaykh accompli, Cheikh al Islam Ibrahim fils d’El-Hâji Abdallah. Il resta avec lui et fut son compagnon durant vingt huit années. Il reçut de sa part des connaissances, des secrets et des lumières qui comblent tout pèlerin et le dispensent de toutes autres recherches. Il le servit de toutes les servitudes par la plume et par le chapelet. Particulièrement, il s’occupait de retraites spirituelles (khalwa et riyâdhiyât). Il lui fit d’abord une retraite spirituelle de huit (8) jours appelée khâsatul-ulyâ (La particulière des plus grandes), ensuite une retraite spirituelle de soixante douze (72) jours appelée khalwatul al-samdhaniyya al-kubrâ (La plus grande retraite éternelle). Ensuite il lui fît régulièrement des retraites spirituelles de quarante (40) jours durant sept (7) ans. Il répétait ces retraites au point qu’il était devenu comme un chameau libre se promenant dans les khalwas comme le chameau se promène dans les prairies. Il obtint de ces retraites des visions que sa langue ne peut prononcer et que sa plume refuse d’écrire bien que son esprit ait voulu les dicter. Dieu lui a gratifié de la grande ouverture (al-fath) et lui a ouvert les sciences et les gnoses, les secrets, les lumières, les profusions, les parfums divins. Louange et remerciement à Dieu. Dieu lui a fait comprendre la profondeur du Coran et les sous-entendus des traditions du Prophète (SAS) et le sens profond des paroles des soufis qu’il entendait et comprenait comme si c’est lui qui les avait énoncées. « Notre maître Cheikh Ibrâhîm nous a donné l’autorisation suprême (Ijâza mutlaq châmila) englobant toutes les sortes d’autorisation dans la voie Tijâniyya. Son autorisation à mon égard englobe toutes celles dont nous venons de parler. Louange soient rendus à Allah, tous ses maîtres sont accomplis et il n’a jamais servi un maître non complet. » Thierno Al Hassan Dem dixit.

Ses relations avec les Moukhadames de son époque :

Thierno entretenait de très bonnes relations avec tout les « Moukhadames » (guides) de Cheikh Ibrahima Niass dont en exemple:

– Avec Cheikh Alioune Cissé (1er Khalife et Père de Imam Assane Cissé): Thierno avait une relation très étroite avec Cheikh Alioune Cissé. Il l’appelait Ils se rendaient visite régulièrement, à ces occasions, ils s’enfermaient souvent des heures et ce dont ils discutaient demeure jusque là inconnu. Lorsqu’ils devaient se séparer après chaque visite, l’un accompagnait l’autre jusqu’à sa maison. En plus de ces visites, symbolique. Certains membres de la famille de Thierno portent des noms de la famille de Cheikh Alioune Cissé, c’est le cas de Seyda Oumou Dème qui port le nom de Seyda Oumou Cissé (sœur de Baye Alioune Cissé) Zahra Dème porte le nom Seyda Fatoumata Zahra Niass (fille ainée de Baye et femme de cheikh Alioune CISSE), elle est aussi la mère de Imam Assane Cissé (RTA) Alioune Cissé Dème: Plus connu sous le nom de Cissé Dème, il porte le nom de Cheikh Alioune Cissé lui-même.

La sueur de Baye Alioune Cissé précédemment citée avait une très grande estime pour Thierno. Elle ne manquait jamais l’occasion de lui servir. Des repas copieux – Avec Cheikh Ibra Fall (RTA): Il est important de noter que lorsqu’il avait terminé sa « Tarbya » (Education Spirituelle) chez Cheikh Ibrahima Niass Al kaolacki, Thierno avait reçu l’autorisation de retourner chez les siens. Un jour, Cheikh Omar Touré (Ndoffane) un des plus grands » Moukhadames » est venu rendre visite à Baye et lui avait demandé des nouvelles de Thierno. BAYE lui a fait savoir que ce dernier était reparti. Et cheikh Omar Touré dit: celui là n’est pas quelqu’un qu’on laisse partir. Je pense qu’il faudrait que tu le fasses revenir. C’est par la suite lors d’un séjour de Cheikh Ibrahima Niass à Dakar alors que Thierno y était, qu’ils se sont revus et BAYE lui signifia sa volonté qu’il retourne habiter définitivement à Médina Baye.

Depuis lors, Thierno n’est jamais retourné chez les siens. Celà a été début d’une bonne relation entre Thierno et Cheikh Omar Touré (RTA). Ils se rendaient visite souvent et s’écrivaient fréquemment. Un jour que Baye Ibra Fall était venu le rendre visite, il le trouva entrain de discuter avec des disciples sur la Tarikha car quelqu’un voulait y adhérer. Dès son entrée, il affirma sa réjouissance ça c’était pour lui une occasion pour renouveler sa Tarikha.

Ses voyages et conférences publiques :

Il commença alors ses voyages dans les différentes contrées et pays hors du Sénégal et y tint des causeries publiques (majâlis) depuis des années. Ses dernières conférences eurent lieu en l’an 1396 H, soit en 1976 AJ. Il partit au Mali et en Haute-Volta puis au Ghana, dans leurs villages et villes. Il y tint cent vingt neuf conférences. Il se rendit ensuite au Maghreb, en visite auprès de son maître Cheikh Ahmed Tijân à Fèz. Il lui fît la ziyâra ainsi qu’à vingt huit (28) de ses compagnons, certains à Fèz, certains à Meknes, certains à musâwa, d’autres à Casablanca. Ces savants du Maghreb à qui il rendu une visite furent au nombre de 28 saints. Il a prié auprès au près de la tombe de chacun d’entre eux. Il a aussi visité d’autres à Tunis, en Egypte, au Hijâz, au nombre de seize (16). Il connaissait leurs noms et leurs histoires. Il a aussi visité la zâwiyya de Cheikh al-arabî al-sâ-ih à Rabat où il tint aussi quatre conférences. Il a donné une conférence à Casablanca et une au Caire et 59 conférences au Nigéria, à Kano et d’autres villages. Au total, il a tenu 201 conférences dans un périple qui l’a mené au Maghreb, en Tunisie, en Égypte et au Nigéria. Il a parlé de la Charî’a (loi islamique), de la Voie et de la haqîqa. Le public fut très dense dans ses conférences. Dans ce périple, entrèrent dans la Voie un grand nombre de personnes difficiles à dénombrer. Au Caire, il a rencontré Mouhammad Al-Hâfiz fils d’Abdul-Latîf et il lui donna une autorisation écrite, complète et totale (Ijâza âmma mutlaqa) de l’ensemble de ses vingt (20) autorisations. Que Dieu récompense ses pères et grand-pères dans cette voie de bienfaits.

Cheikh Tidiane Sarr

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Absence d’infrastructures de base: Les populations de Ndramé Escale dans la rue

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La commune de Ndramé Escale manque presque de tout. Les habitants de cette localité située dans le département de Nioro(région de Kaolack) n’ont pas manqué de manifester leur ras-le-bol face à la précarité que leur localité est confrontée. Arborant des brassards rouges, les populations de Ndramé Escale sont montées en créneau en descendant dans la rue pour manifester leur colère et interpeller les autorités. Aussi ont-elle remis un mémorandum aux autorités territoriales. 

L’absence d’infrastructures de base, de structures de santé adéquat dans certains villages, de pistes de production, d’électricité dans près de 13 villages et d’infrastructures hydrauliques plombe le développement de cette commune.
Également, le renforcement de la sécurité devient une priorité pour les habitants de cette localité afin de leur permettre de lutter contre les vols de bétail.
Selon les initiateurs de cette marche pacifique, l’éducation connaît aussi des problèmes avec un nombre déficitaire d’enseignants dans les établissements scolaires de la commune.
La manifestation a rassemblé une large part de la population : jeunes, femmes, leaders communautaires, notables, responsables religieux, membres d’Associations Sportives et Culturelles (ASC), groupements de femmes, élèves, enseignants, entre autres.
JC
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Contribution/ 50 ans de la CEDEAO : Changer ou Périr pour une renaissance de l’intégration ouest-africaine ( Par Babacar Touré)

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Du 18 au 20 juin 2025 à Dakar, Afrikajom Center, en partenariat avec la société civile ouest-africaine, organise une conférence régionale placée sous le thème : « La CEDEAO à 50 ans : Changer ou Périr – Pour une Renaissance de l’Intégration Régionale ».

Cette conférence régionale majeure réunira les États membres, la société civile, les universitaires, les médias et le secteur privé autour d’un carrefour d’idées. Au cœur des discussions : l’avenir de l’intégration ouest-africaine face aux défis contemporains.

Les participants analyseront en profondeur les enjeux actuels et élaboreront une feuille de route pour une CEDEAO renouvelée, plus proche des citoyens et mieux armée face aux défis du 21e siècle.

Organisée par Afrikajom Center, cette rencontre mobilisera plus de 50 experts et acteurs régionaux de premier plan. Les travaux s’articuleront autour de quatre axes principaux :

● Gouvernance et réformes institutionnelles

● Sécurité régionale et réponse aux crises

● Intégration économique et développement durable

● Innovation numérique et transformation digitale

Créée il y a un demi-siècle pour promouvoir l’intégration économique ouest-africaine, la CEDEAO traverse aujourd’hui une période charnière. Face aux défis sécuritaires croissants, aux tensions politiques et aux mutations socio-économiques, l’organisation doit se réinventer pour rester pertinente et efficace.

Le diagnostic est sans appel : la CEDEAO doit se transformer en profondeur, faute de quoi elle risque de perdre sa légitimité. Afrikajom Center plaide pour une refondation basée sur trois piliers : la démocratie participative, la justice sociale et la souveraineté collective.

Cette initiative s’inscrit dans la mission d’ Afrikajom Center de promouvoir une gouvernance régionale inclusive et démocratique. L’objectif est de catalyser une transformation profonde de la CEDEAO pour en faire une organisation véritablement au service des peuples ouest-africains.

Un partenariat stratégique en faveur du renouveau de la CEDEAO
En s’associant pleinement à cette activité aux côtés d’Afrikajom Center, AfricTivistes, réseau panafricain, réaffirme son engagement en faveur de la démocratie, de la bonne gouvernance et des droits humains, en parfaite cohérence avec la mission de la CEDEAO.

Depuis une décennie, à travers ses actions de veille citoyenne, de renforcement des capacités des organisations de la société civile, de lutte contre la désinformation et les restrictions numériques, ou encore de promotion des technologies civiques pour une participation inclusive, AfricTivistes contribue activement à la consolidation démocratique sur le continent.

Son implication dans l’observation électorale, la prévention des conflits et la mobilisation citoyenne, notamment des jeunes, s’aligne avec les objectifs du Protocole sur la démocratie et la bonne gouvernance de la CEDEAO, tout en renforçant la coopération régionale à travers des initiatives transnationales portées par les citoyens eux-mêmes.

La commémoration des 50 ans de la CEDEAO est donc envisagée comme un moment de rupture, une bascule vers une nouvelle ère d’intégration, plus horizontale, plus juste et plus ancrée dans les réalités sociales, politiques et économiques de l’Afrique de l’Ouest.

Parce que changer, c’est survivre. Et refonder, c’est construire ensemble l’avenir de la région.

Par Babacar Touré, journaliste

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Kaolack: 9 435 candidats aux examens du Cfee, Bfem et Bac sont sans extraits de naissance

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Un comité régional de développement axé sur la préparation des examens de la sessions 2025 a été organisé ce mardi, à la salle de conférence de la gouvernance de Kaolack. L’objectif de cette rencontre était de faire le point sur le déroulement des examens, sur la situation des centres d’examen et celle des élèves sans extraits de naissance. La réunion présidée par le gouverneur de la région, a réuni les acteurs de l’éducation, les parents d’élèves, les élus locaux entre autres autorités locales.
La région de Kaolack enregistre 20 544 candidats au Certificat de Fin d’Etudes Élémentaire (CFEE), 13 308 candidats pour le Brevet de Fin d’Etudes Moyennes (BFEM).  273 sont inscrits pour le Bac technique (STEG) et 12 045 candidats pour le baccalauréat général. Selon l’inspecteur d’académie de Kaolack, il y’a 9 435 potaches qui risquent de ne pas être officiellement enregistrés aux examens pour manque d’extraits de naissance. « À Kaolack, 9. 435 candidats au Brevet de Fin d’étude Moyenne (BFEM) et au Baccalauréat, n’ont pas d’extraits de naissance. Nous avons 8.880 candidats sans extrait au CFEE sur un total de 20.544 et 555 candidats sans extraits de naissance pour le BFEM sur un total de 13.304. Les candidats sans extraits de naissance risquent d’être exclus des examens car l’extrait de naissance est exigé pour l’inscription officielle », a-t-il indiqué.
Au cours de cette rencontre des instructions ont été données par le chef de l’exécutif régional qui devraient permettre de poursuivre des démarches concernant la sécurisation des centres mais surtout la mise en place d’un dispositif de prévention des inondations.
JC
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Élections municipales 2027 à Kaolack: Ansoumana Dione investit Moussa Fall de l’Aprodel

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C’est au cours de la troisième édition de la journée dédiée en la mémoire du prophète Mohamed (PSL) que le président de l’association sénégalaise des malades mentaux errants (ASSAM), Ansoumana Dione a invité les kaolackois à faire de Moussa Fall, le président du parti Aprodel, le prochain maire de la commune de Kaolack. Selon lui, Moussa Fall est le profil qu’il faut pour mener la ville de Kaolack sur les rampe de l’émergence

Ansoumana Dione n’a pas manqué de manifester son soutien et son accompagnement à l’endroit du leader du parti Aprodel. « Nous avons demandé le bon Dieu, en cette journée de prière  de faire le président Moussa Fall le prochain maire de Kaolack. Il est un personne dynamique un patriote qui aime son terroir et la ville de Mbossé a besoin de ses fils qui se sont toujours battu pour l’intérêt de tout Kaolack », a t’il dit.

« Nous avons initié cet après-midi une séance de prière pour rappeler des enseignements du prophète Mohamed PSL. Dans des situations pareilles il faut préconiser la solidarité. Chaque individu doit considérer son voisin comme sa propre personne. Nous avons prié pour la paix et la stabilité du pays. Nous ne pouvons pas parler de stabilité sans l’unité des cœurs et des esprits. Dans une situation économique très désastreuse, il faut s’en remettre à Dieu et prier. Nous devons arrêter de nous lamenter et s’en remettre à Dieu. Il appartient aux sénégalais d’œuvrer pour la paix et le développement du pays », a-t-il souligné.

Venu assister à cette séance de prières, le président Moussa Fall a rappelé les enseignements du prophète Mohamed PSL avant de féliciter et remercier monsieur Dione pour l’espoir qu’il porte sur sa personne.

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