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Kaffrine

Attaque contre Ousmane Sonko: Pastef Kaffrine recadre Abdoulaye Seydou Sow

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Suite à la sortie du ministre de l’urbanisme s’attaquant à Ousmane Sonko, Pastef Kaffrine a vertement répliqué. Dans un communiqué intitulé «un discours mensonger et ridicule d’un imposteur en quête de poste au prochain gouvernement », les camarades de Ousmane Sonko dans le Ndoucoumane rectifient leur maire et balance gravement sur lui, tout en lui rappelant que que Sonko boxe avec leur père politique Macky Sall.

Nous publions ci-dessous le communiqué de Pastef Kaffrine.

Un discours mensonger et ridicule d’un imposteur en quête de poste au prochain gouvernement.

Depuis quelques moments, Monsieur Abdoulaye Saydou Sow se livre à des numéros de « striptease communicationnel » dont l’unique objectif est de chercher à séduire le Président Macky Sall afin d’être reconduit à un poste de ministre ou de conseiller.

Alors, il se mue en activiste digne des pires manipulateurs sombres du régime en dégringolade pour s’attaquer de manière honteuse au Président Ousmane Sonko, challenger de Macky de qui il tient le mangeoire du transhumant. Bien évidemment un exercice qu’il s’est essayé dans sa dernière comique prestation. Cet énergumène, habitué à mentir pour assouvir ses intérêts cryptopersonnels, mérite alors d’être remis à sa place.

D’emblée, nous tenons à souligner à Monsieur Abdoulaye Saydou Sow, qui fait la grande gueule depuis qu’il est nommé ministre car se croyant renaitre d’entre les cuisses de Jupiter, que le Président Ousmane Sonko n’est pas son égal à tout point de vue; que ça soit sur le plan intellectuel, sur le plan politique et sur le plan moral. En effet, quand Sonko exerçait en tant qu’inspecteur des Impôts en 2002, lui A2S était en train d’être initié à la rédaction et gestion de courriers administratifs. Quand le Président Ousmane SONKO sortait troisième de l’élection présidentielle de 2019, pendant ce temps le nouveau fou du Roi cherchait une nomination ministérielle.Aujourd’hui, quand Ousmane SONKO arbore fièrement son manteau d’homme de principes, de valeurs, espoir de tout un peuple, lui vagabonde honteusement avec sa vulgaire casquette de transhumant en quête de reconnaissance auprès de ses nouveaux maîtres.Pour reprendre les jeunes de Kaffrine » Laye Sow, SONKO sa baye leu ».
Sur la ridicule conférence de presse de FARBANK (Farba Ngom) et LAYE TRANSHUMANT, il est nécessaire de préciser qu’ils n’ont raconté que des mensonges.

D’abord, Abdoulaye Saydou Sow a difficilement tenté de soutenir que le Sénégal s’est souverainement engagé au Mali sans la moindre influence de la France. Ce qui est bien évidemment faux car la France a bel et bien joué un rôle actif et de premier plan dans la mise en place de la Mission de la CEDEAO au Mali (MICEMA) finalement déployée sous le nom de Mission Internationale de Soutien au Mali (MISMA) portée par l’Union africaine. En effet, nous rappelons à Abdoulaye Saydou Sow, qu’à la suite du coup d’Etat au Mali du 22 mars 2012, il s’est tenu un sommet de la CEDEAO le 02 avril 2012, à Dakar (le deuxième après celui du 29 mars tenu à Abidjan où les Chefs d’Etats avaient menacé la junte d’une intervention militaire pour rétablir l’ordre constitutionnel).

A ce sommet de Dakar, étaient présents notamment, le Burkinabé Blaise Compaoré, médiateur de la CEDEAO sur la crise malienne, le Béninois Yayi Boni, président en exercice à l’époque de l’Union africaine (UA), Saïd Djinnit, représentant de l’ONU en Afrique de l’Ouest et Alain Juppé, ministre français des Affaires étrangères. La seule présence d’Alain Juppé, seule personnalité non membre de la CEDEAO et non représentant d’une organisation internationale, est révélatrice de l’influence que la France exerce sur la mise en place de la MICEMA.

Mieux encore, c’est la France qui a proposé la résolution 2071 adoptée le 12 octobre par le Conseil de Sécurité de l’ONU, donnant notamment 45 jours à la CEDEAO et à l’UA pour préciser les modalités de leur intervention. Aujourd’hui c’est une évidence que les récentes sanctions prises contre le Mali par la CEDEAO et honteusement appliquées par le Sénégal ont été dictées par la France.

Ensuite, comme il sait bien le faire, Abdoulaye Saydou Sow a versé dans un exercice de manipulation sur l’armée nationale. Hélas, peine perdue pour lui car les sénégalais ont suivi et bien apprécié la déclaration de presse de Ousmane SONKO, particulièrement son soutien au peuple malien. Inutile de préciser que le leader de PASTEF les Patriotes s’est adressé à Macky Sall, Président de la République et chef suprême des armées qui prend les décisions d’engagement ou de désengagement de l’armée nationale.C’est l’attitude de celui-ci qu’il a fustigé et non celle de nos valeureux Jambars. En réalité, c’est plutôt Macky Sall qui laisse ses ministres insulter notre armée nationale à travers les sordides affaires de forces occultes de mars 2021 et de rebelles venus de la Casamance traversant tout le pays et se seraient baladés au cœur de la capitale, le 08 juin passé.

Pour terminer sa prestation comme se le doit une stripteaseuse aguerrie à la tâche, Abdoulaye Saydou Sow a le culot de nous servir la fameuse affaire Adji Sarr.

Mais point pour nous d’épiloguer sur cette affaire déjà réglée par le peuple sénégalais. Juste nous précisons à Macky Sall et à Benno Bokk Yaakar que personne, et nous disons bien PERSONNE, ne peux empêcher le Président Ousmane SONKO de participer à l’élection présidentielle de 2024 (Inchallah). Et si Macky Sall tient à terminer son second et dernier mandat, qu’il ne tente point à faire arrêter et condamner le Président Ousmane SONKO, car nous sommes déterminés à le protéger et le projet qu’il incarne au prix de nos vies.
En fin, nous soulignons qu’Abdoulaye Saydou Sow, qui se prévaut d’une légitimité populaire, est en réalité en train de perdre Kaffrine au profit de l’opposition particulièrement PASTEF.

En effet, aux élections législatives, la coalition BBY avec ses 33 007 voix sur 53 627 suffrages valablement exprimés se retrouve avec 61,5%, malgré les milliards détournés et distribués un peu partout dans le département. Jamais un parti au pouvoir n’a obtenu un si faible score en de pareilles élections à Kaffrine. La coalition au pouvoir n’arrive plus à atteindre son score de 71% obtenu à l’élection présidentielle de 2019. Leur score s’effrite d’élection en élection. Entre la présidentielle de 2019 et les législatives de 2022, ils ont perdu pratiquement 10 points de pourcentage (71% – 61%) et 5867 voix ( 38 874 – 33 007) au profit de l’opposition.

Alors nous appelons les militants et sympathisants à continuer le travail remarquable de déconstruction des mensonges de Abdoulaye Saydou Sow et à implanter davantage le parti partout dans le département afin de rendre Benno Bokk Yaakar inexistant en 2024 et ainsi porter l’estocade à ce régime finissant de Macky Sall.
Chers frères et sœurs patriotes kaffrinois, désormais que rien ne nous divertisse et comme l’a dit le Président Ousmane SONKO, FOCUS SUR 2024.

Vive PASTEF
Vive le Sénégal
Focus2024

Signé Cellule communication
PASTEF KAFFRINE

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Accident mortel à Koungheul: Le Président Diomaye Faye partage sa tristesse et présente ses condoléances aux familles des victimes

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Le chef de l’Etat, Bassirou Diomaye Faye a présenté ses sincères condoléances aux familles des victimes de l’accident de la circulation survenu entre Yamong sur la RN1 non loin de Koungheul et qui a fait 14 morts et plusieurs blessés.

« Je demande à tous les services concernés à se mobiliser pleinement pour apporter leur soutien et assistance aux victimes. J’instruis les différents services de l’État à veiller au respect des normes techniques des véhicules et des règles de la sécurité routière », a demandé le chef de l’Etat.

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Drame à Koungheul: Un accident fait 14 morts et plusieurs blessés

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Le Drame s’est produit, ce jeudi, vers 20h. Un bus horaire en partance de Dakar pour Kédougou s’est renversé à hauteur de Yamong, un village situé à quelques encablures de la ville de Koungheul, a appris Kaolack Infos

Le bilan fait état de 14 morts et plusieurs blessés dont certains dans un état critique.

À signaler que les pompiers qui s’étaient déplacés sur les lieux avaient du mal à faire sortir les victimes coincées dans les épaves du véhicule à cause d’un manque de matériel.

Les victimes ont été conduit au structure sanitaire de Koungheul.

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Keur Mboucki: Le maire, Abdou Aziz Diagne liste les maux de sa commune

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Située à 21 Km de Kaffrine, la commune de Keur Mboucki est une localité qui manque presque de tout.

Selon le maire, Abdou Aziz Diagne en plus des difficultés liées à l’enclavement, s’en suivent les problèmes de l’eau et de l’électricité etc. « Nous sommes une commune qui fait face à beaucoup d’urgences dont le manque criant d’eau, la non électrification de certains villages, car sur les vingt-huit villages que compte la commune, quinze seulement sont électrifiés. Il nous faut d’autres pistes pour faciliter le déplacement, le transport des marchandises et des récoltes [et] autres », a t-il déclaré dans un entretien avec APS.

Pour rappel, Keur Mboucki a été érigé en commune en 2014.

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Kaffrine: 83 kg de chanvre indien saisis à Kahi, deux personnes interpellées

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Des agents de la brigade des eaux et forêts de l’arrondissement de Gniby, ont saisi 83 Kg de chanvre indien à Sorokogne, un village situé dans la  commune de Kahi (région de Kaffrine), lors d’une opération de patrouille initiée dans le cadre de la lutte contre le trafic illicite de charbon de bois et les feux de brousse.

« Cette quantité de chanvre indien a été saisie à bord d’une charrette abandonnée par des trafiquants, dans leur fuite après qu’ils soient tombés nez à nez avec des agents de la brigade des eaux et forêts de Gniby, en pleine opération de patrouille », a dit à l’APS le sergent Mamadou Yaya Diallo.

Poursuivant leurs investigations, les agents des eaux et forets ont trouvé un numéro de téléphone sur la charrette, permettant d’identifier le propriétaire du véhicule. Répondant au nom de B. Nd et résidant dans la commune de Djoli, il a été appréhendé.

Durant son interrogatoire, il a coopéré en révélant le nom de son complice, également propriétaire de la drogue, nommé SB, qui a été arrêté dans la commune de Kayel. Les deux mis en cause ont reconnu sans ambages les faits qui leur sont reprochés, à savoir le trafic intérieur de chanvre indien.

Ils ont été présentés au parquet de Kaffrine avant leur placement en détention.

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